jeudi 28 février 2008

la déserteuse

Autant avouer: j'ai déserté ces derniers jours.

Je suis officiellement partie en weekend et puis ça s'est prolongé en petites vacances. J'ai vu le soleil (et la pluie...), des oliviers, des arbres en fleurs, de la verdure, humé le parfum de l'herbe mouillée et celui de la viande grillée dans la cheminée. J'ai retrouvé avec plaisir quelques personnes qui me sont proches. De quoi recharger les batteries pour quelque temps.



C'était pas exactement là mais ça y ressemblait.
Je viens de rentrer. Paris, parfois c'est tout gris!

mercredi 20 février 2008

Paris, et puis?

Hier soir je suis allée voir le nouveau film de Klapisch dont, honnêtement, je n'attendais pas grand-chose. Mais bon, une proposition de soirée ciné après une journée rangement et nettoyage de l'ancien appartement, ça me disait bien (pour expliquer pourquoi je m'entête à faire tout ça en milieu de semaine, disons qu'en ce moment, en pratique, mon dimanche c'est le mardi).

Je vous vois venir: il faut vraiment être une touriste ou une provinciale pour aller voir un film dont le titre (et la trame?) se résume à "Paris". C'est pas faux. De toute façon je suis un peu les deux. J'assume et je confirme donc: un Klapisch sans grand intérêt, si ce n'est quelques acteurs connus (Juliette Binoche, Romain Duris, Fabrice Luchini...), et le paysage parisien en toile de fond, voire en premier plan par moments. Luchini en prof d'histoire de la capitale tombé amoureux d'une de ses étudiantes à la Sorbonne (évidemment) est pas mal, il parvient même à glisser une réplique "en France quand on est chercheur on cherche surtout à joindre les deux bouts" pour se justifier d'accepter d'enregistrer quelques émissions de vulgarisation pour la télé (avant qu'on le voie rentrer à pied chez lui depuis la Sorbonne pour atterrir dans un appartement à proximité, à première vue pas si modeste que cela, c'est pas très crédible tout ça). Si l'idée était de faire un film-marketing à aller montrer dans tous les instituts français du monde, c'est plutôt réussi... Sinon, je ne sais pas (et je ne suis pas si méchante que ça!). Dans le même registre et sur Paris, on aurait pu mieux faire.

Quelques anecdotes qui m'ont fait éclater de rire (par exemple le savant historien qui raconte avec un enthousiasme débordant son succès annoncé au colloque sur "l'actualité mérovingienne" - il y a de quoi tiquer, non?). Et puis le jeu du "tu sais où c'est ça?" fait passer le temps, mais il y a quelques incohérences dans l'enchaînement des lieux.

Romain Duris m'exaspère toujours autant, probablement en partie parce que sa bouille et sa manière d'être me rappellent vaguement quelqu'un. Là, il joue un personnage dont la vie prend une tournure tragique mais la nouvelle vient un peu comme un cheveu sur la soupe: on se demande ce que ça fait là. Les personnages sont forcés, le film abuse des clichés à l'excès: le prof qui drague une de ses étudiantes, la vieille de l'immeuble qui critique les jeunes, la blonde boulangère tout sourire au client entre deux remarques racistes envers son employée, la mère célibataire paumée, les pimbêches qui bossent dans la mode entre les vacances au club Med à fricoter avec le personnel local, les gens qui travaillent avec leurs mains et qui les ont balladeuses, les touristes allemands en shorts...

en résumé: allez voir autre chose ça sera peut-être pas plus mal!

PS: je suis à nouveau reliée au monde via internet. Comme quoi, le choix du fournisseur n'était pas mauvais ;)

dimanche 17 février 2008

Le mauvais goût à l'italienne

Si si, ça existe!

Manifestation contre la nouvelle ligne de tram à Florence:
http://www.repubblica.it/2006/05/gallerie/cronaca/cecchini-tramvia/12.html

je vous laisse juge...

(c'était la page actualité locale d'ailleurs... pour changer)

vendredi 15 février 2008

Billy, la Saint Valentin et moi

Je sais pas vous, mais moi, la Saint Valentin je l'ai passée bien au chaud avec Billy. De là à dire que j'étais bien entourée, je ne m'avancerai pas...

Voilà. C'est fait. Mercredi au point du jour, les cartons ont été transportés d'un immeuble à l'autre, une grande pyramide dans l'ancien appartement puis une grande pyramide dans le nouveau (merci les ascenseurs!). Les meubles en kit, c'est génial, ça prend pas de place dans le camion, mais après faut aimer les monter, je confirme! On a déjà assemblé des étagères et déballé pas mal de cartons, mais il en reste encore... Billy à côté d'autres modèles c'est de la rigolade ;)

C'est rigolo de voir progressivement l'appartement perdre son aspect d'entrepôt et prendre l'aspect d'un endroit où il fait bon habiter.

Voilà à quoi a ressemblé ma semaine. Cela s'est passé dans la bonne humeur, avec une aide précieuse pour le déballage. J'attends encore la connexion internet dans le nouvel appartement, j'espère que ça prendra une semaine plutôt que deux... Je ne pense pas que j'aurais les moyens d'aller beaucoup sur mon blog et les vôtres en attendant. Sans compter qu'il reste du pain sur la planche.

Contente en tout cas!
Même s'il reste encore quelques petites choses à résoudre.

lundi 11 février 2008

"Attente de personnel"

Vous me croyez si je vous dis que la dernière fois que j'ai pris le train on nous a annoncé que le conducteur avait eu une panne d'oreiller et qu'il a donc fallu l'attendre une grosse demi-heure, le temps qu'il arrive ? ben si. La SNCF ça ne s'invente pas. Heureusement qu'on a des trains qui vont vite une fois partis, hein... sauf que là, pour couronner le tout il a fallu faire un détour par triffouilly-les-oies parce qu'un autre train qui va vite s'était bloqué sur la voie normale avant le nôtre. Je porte la poisse. Non mais sans rire.

Du coup je me suis avalée une bonne partie de "J'étais derrière toi" de Nicolas Fargues. Effectivement il vaut mieux être coincé dans le train pour passer la première partie.

Pour jouer au jeu du jour, je pourrais avouer un truc "peu important à mon sujet." (un seul parce que je suis fatiguée, et parce que je ne suis pas une victime désignée, et je ne m'en plains aucunement d'ailleurs!)

J'ai acheté le livre au hasard, en flashant sur le nom de l'auteur, dont je n'avais encore rien lu. Juste parce que je me suis rappelée les mots d'une copine en déjeunant un jour sur une terrasse: "Ouah j'ai vu Nicolas Fargues aujourd'hui, tu sais l'écrivain. Il est vachement séduisant." Ce qui, on le sait bien, est le meilleur moyen de repérer un bon écrivain...

Scène de perdition dans une gare...

Banlieue pas si paisible

Dire que c'est là-bas que tout avait commencé.

Du rififi dans le fief du roi des mouches, vous croyez que c'est un signe?

Les chroniques mondaines en version alternative:
http://20minutes.neuillybondyblog.fr/

et voilà je finis par en parler moi aussi.

samedi 9 février 2008

Devoirs du week-end

Consigne: transformer ceci...




...en cela:



ça occupe!

photos: flickr/ fragglerawker_03 et flickr / mrlerone

mercredi 6 février 2008

L'opération logistique du mois

Et voilà j'ai pris les clés de mon nouvel appartement. Les travaux de peinture sont en cours, j'attends qu'ils soient finis pour emménager. Je suis passée aujourd'hui pour prendre les mesures dont j'avais besoin pour faire quelques achats. Finalement c'est un peu plus petit que je ce que je pensais :-( Enfin, il y a moyen de bien s'installer quand même, en évitant le mobilier superflu.

Le test en vogue: les meubles suédois sont-ils fait pour un appartement de célibataire à Paris? Je pourrais aussi me la jouer ikea hacker. Il paraît qu'il existe plein d'amateurs de customisation et détournement des basiques IKEA: ils ont même un blog, un group sur flickr. A côté de celui des ikea lovers, bien entendu, ceux qui seraient même prêts à emménager dans le décor du magasin, à mon avis! (pour ne pas avoir à monter les meubles, peut-être ;)

Tout ça pour dire que la grande opération logistique du mois, comme annoncé précédemment, c'est pour bientôt. La fin de cette semaine sera consacrée à l'emballage et aux cartons et la suivante au déballage et aux jeux de construction! Après maintes tergiversations, c'est un déménageur qui viendra avec son camion prendre les meubles dans un coin de France, puis les cartons dans un coin de Paris, et m'apportera le tout à ma nouvelle adresse. Je dis ça pour déculpabiliser les bonnes âmes et les gros bras qui m'ont écrit qu'ils avaient piscine/musique/cours/n'habitaient pas Paris/n'avaient pas un gros break même pas pour dépanner! Vos réactions étaient très chouettes.

A quelques 1000km de là, ma meilleure amie vient de donner naissance à une adorable petite fille. C'est la plus jolie nouvelle du jour bien évidemment.

Le parfait prétexte pour planifier un weekend au vert dans quelques semaines...

mardi 5 février 2008

Italiano di fiducia

C'était samedi, ça a commencé par un passage à la fête du livre italien qui se tenait dans le Marais... Parfait pour revenir dans l'ambiance, se tenir au courant des dernières parutions, acheter quelques polars (eh oui en ce moment je suis surtout d'humeur à lire des polars). Et se mettre l'eau à la bouche en s'émerveillant devant une foule de livres de cuisine déclinés dans tous les genres avec une grande inventitivé... Nul ne peut nier qu'il y pas mal de choses à attendre d'un pays dont la bible culinaire s'intitule Le talisman du bonheur (Il Talismano della felicità)!

Avec la petite bande de "rapatriés", nous étions depuis quelque temps à la recherche d'une cantine où retrouver la cuisine italienne "comme à la maison", savoureuse et sans prétention, pour les moments de nostalgie des bons plats de pâtes et autres... Et voilà comment on se retrouve à l'autre bout de Paris pour suivre les recommandations d'une amie digne de confiance en la matière. L'adresse a fait l'unanimité de trois convives exigeants!

Il Gallo Nero, donc. Menu à 16 euros (entrée+plat) ou 20 euros (entrée, plat, dessert), et petite carte. Antipasti assez classiques, plat de pâtes, viandes et poissons un peu plus originaux. Les pâtes (fraîches) à la citrouille et aux feuilles de bettes étaient excellentes, les côtelettes d'agneau au citron également. Je me suis contentée d'un antipasto siciliano qui valait bien un plat de pâtes en quantité. Une grande assiette: caponata (une sorte de ratatouille froide), arancinis (boulettes de riz et légumes ou fromages, frites), poivrons à l'huile, galettes de farine de pois, salade. Les arancinis étaient délicieux, et pas lourds du tout. Buonissimo!

Et les desserts tout aussi fameux ma foi: moelleux au chocolat avec une pointe de café qui le rend plus léger, servi tiède avec une boule de glace vanille; torrone glacé délicieux (mal orthographié sur la carte, mais après l'avoir goûté, on leur pardonne! c'est une sorte de nougat aux pistaches). Le personnel de salle n'est pas italien, mais celui de la cuisine, paraît-il est sicilien, ce que je n'ai pas trop de mal à croire au vu des plats. Quelques spécialités siciliennes sur la carte, dommage qu'il n'y en ait pas plus à base des produits de la mer.

> Il Gallo Nero, 36 rue Losserand, 75014, métro Gaîté ou Pernety. Site web pas du tout à jour - le menu a changé et la déco a été entièrement refaite, l'intérieur est plus plaisant et plus chaleureux que sur les photos.

Je viens d'apprendre qu'on va droit vers des élections anticipées en Italie. Avec toujours la même loi électorale votée par Silvio B et ses amis, une vraie manipulation honteuse qui défavorise fortement tous les autres partis. Le choix étant entre une impasse ou une impasse...

Le correcteur orthographique de blogger ne veut plus travailler pour moi, on dirait. Ces derniers temps, il fait grève. Désolée pour les coquilles!

dimanche 3 février 2008

Histoires belges

Quelques petits endroits bruxellois qui valent le coup et que j'aime bien, si jamais vous passez par là:

- la vue panoramique depuis la mezzanine au 6ème étage du musée des instruments de musique. On voit le haut du beffroi de la Grand-Place en face, on peut observer le côté patchwork un peu destructuré de la ville, et on réalise qu'on est bien au plat pays... C'est en fait un café-restaurant avec de grandes baies vitrées, entrée indépendante du musée, il suffit de prendre l'ascenseur.

- la brasserie Cantillon, l'une des plus vieilles brasseries artisanales de Bruxelles, qui continue à brasser sa Lambic au naturel sans y ajouter de levure, ce qui donne une bière sans sucre résiduel assez acide. C'est un petit établissement familial de longue tradition qui parallèlement à sa production artisanale ouvre ses portes aux visiteurs. Visite guidée dynamique et instructive, bien menée par des gens enthousiastes, fiers de leur savoir-faire et heureux de le partager. Si attachants qu'on s'en veut terriblement à la sortie de bloquer sur le goût acide de la gueuze!

- le chocolat de Pierre Marcolini: on m'en avait parlé, je ne connaissais pas encore, c'est fait! La boutique au grand sablon fait très chic. C'est pas donné mais bel et bien délicieux. En petites tablettes ou en boîtes de pralinés. La meilleure partie du magasin est au premier étage. Il y aussi une boutique à Paris près du Sénat dans le 6ème.

- les bars à côté des halles Saint-Géry (un classique) pour une bière entre amis. Au Roi des Belges, par exemple. L'un des rares coins où la jeunesse belge et celle de l'eurocapitale se croisent parfois, je pense. Jusqu'à nouvel ordre, on fume encore dans les bars en Belgique...

- l'hôtel Bloom (métro Botanique). Un hôtel très chouette (en tout cas quand on y est tous frais payés!), refait il y a peu, tout design moderne mais confortable et accueillant en même temps. Les chambres sont spacieuses, avec TV écran plat, wifi et machine à café, on peut même brancher son ipod pour écouter de la musique! L'ensemble dégage une atmosphère assez zen sans être minimaliste à l'excès, très réussi à mon avis. De plus, ils ont eu une idée sympa: confier la décoration des chambres à une myriade de jeunes artistes contemporains qui y ont réalisé des fresques sur des pans de mur entiers. Chaque chambre est unique, il y en a pour tous les goût. Et les grands enfants dont je fait partie ont adoré les deux fauteuils suspendus comme des balançoires dans le hall d'entrée :)

C'était un peu le quart d'heure de pub, la destination mériterait mieux - parmi d'autres sujets, on pourrait écrire un guide en entier sur:
- le parcours des amateurs de BD (voir quelques photos dans l'album de Piero)
- les chocolatiers belges
- l'assemblage architectural du quartier européen digne des meilleurs mondes fantastiques

Transfer! (une pièce de Jan Klata)

De passage à Bruxelles, j'ai profité de l'occasion pour voir un spectacle inédit de passage en même temps que moi. Au Kaaitheater, dont la programmation et l'espace-bar sont bien sympathiques.

Transfer! est une pièce co-produite par un théâtre berlinois et le théâtre de Wroclaw, une ville du sud de la Pologne, allemande sous le nom de Breslau avant la seconde guerre mondiale. C'est une création d'un jeune metteur en scène polonais aussi talentueux et innovateur que polémique et lunatique, Jan Klata.

Le spectacle est courageux et original à plus d'un titre: il met en scène des acteurs non professionnels dont certains sont agés, il se déroule en allemand et en polonais, il raconte la seconde guerre mondiale vécue côté vaincu et côté vainqueur, de part et d'autre d'une frontière particulièrement disputée. Ce qui, même 60 ans plus tard, est loin d'être évident. Ni en Pologne, ni en Allemagne, et encore moins dans le cadre d'un spectacle monté ensemble et joué de part et d'autre. Ambitieux mais casse-gueule. De surcroît, un spectacle en deux langues, surtitré dans deux autres, français et flamand sur des écrans de chaque coté de la scène (il n'y a qu'en Belgique qu'on peut voir une chose pareille!). Potentiellement risqué et assez indigeste, donc.

La pièce fait intervenir des "témoins" qui racontent une juxtaposition d'histoires vécues, ou plutôt de souvenirs de leur vie pendant la seconde guerre mondiale. Ils ne jouent pas un rôle, mais racontent "leurs" histoires passées au filtre d'une sélection et d'une légère réecriture dramaturgique. Les personnages nous font donc revivre leur vie en temps de guerre en intervenant tour à tour. On suit leur devenir au travers d'anecdotes et de récits du quotidien. L'un est résistant, l'autre une sympathisante ordinaire du régime nazi. Autant de Polonais que d'Allemands. En parallèle, dans un tableau décalé, trois acteurs jouent une évocation de la conférence de Yalta où entre autres discussions futiles, Staline, Churchill et Roosvelt redéfinissent les frontières de l'Allemagne et de la Pologne. Le titre fait référence aux déplacements de population que les modifications de frontières ont entraînés.


Alors bien sûr les "acteurs" ne sont pas complètement à l'aise sur scène, leur expression n'est pas celle d'un comédien professionnel. Mais cela fait partie de la mise en scène centrée sur la vie des gens ordinaires en période trouble. Au final le tout est plutôt bien ficelé, on suit sans trop de peine, et on apprécie. C'est émouvant de spontanéité et de réalité. Une grand-mère polonaise qui énumère les habitants de son village qui sont partis, polonais ou ukrainiens, pendant de longues minutes. Un vieillard qui raconte son engagement dans l'armée de la Pologne libre, sa prestation de serment en vacillant sur ses béquilles. Une allemande qui raconte son éblouissement d'enfant pour les jeunes filles aux tresses et aux robes impeccables des jeunesses hitlériennes. Ceux qui racontent la cohabitation avec l'occupant allemand ou russe.

Ce n'est qu'au troisième salut que l'on voit leurs visages s'ouvrir et esquisser un sourire au vu du succès de la performance, c'est touchant. Une belle manière de donner la parole à une génération dont la mémoire a été longtemps confisquée par l'histoire officielle en Pologne. Si la thématique peut paraître banale de ce côté de l'Europe, elle l'est beaucoup moins là-bas.

Le public moyen aurait juste apprécié que les écrans de surtitrage soient placés de telle sorte à ce qu'on puisse les suivre tout en gardant un oeil sur le centre de la scène, et non loin sur le côté... il aurait apprécié aussi que le metteur en scène manifeste plus d'intérêt pour ses questions et moins d'arrogance dans la rencontre d'après-spectacle!

Complément: critique belge ici, et sur la réception en Pologne, voir ici (en français). La pièce était invitée dans le cadre d'Europalia, qui chaque année fait venir à Bruxelles des spectacles, des expositions et des concerts des quatre coins de l'Europe.

EDIT 29/09/09: programmé à Paris dans le cadre du Festival d'Automne, du 5 au 7 novembre 2009! Infos ici

samedi 2 février 2008

[HS]

Faisons le point brièvement... Tiusha est là, mais tiusha est fatiguée, donc elle va aller faire un bon gros dodo avant d'essayer de faire travailler trois neurones pour vous raconter quelques anecdotes tirées d'une semaine bien remplie de déplacements professionnels, de retrouvailles amicales en tout genre, et de sorties un peu exotiques. L'inconvénient quand on ajoute des longues soirées aux longues journées, c'est qu'il faut quelque temps pour s'en remettre!

En attendant vous pouvez aller vous divertir sur le billet interactif de C. sur "Votre roman d'amour préféré" (parce qu'à la Saint-Valentin il y a ceux qui se jouent le roman d'amour et ceux qui les lisent c'est bien connu ;). Les passants n'ont pas fait preuve d'une imagination démesurée jusque là.


A... plus tard.