dimanche 28 décembre 2008

2008 - the worst of

Vous en avez rêvé, ils l'ont fait... voici la machine à oublier les pires souvenirs de 2008. En version basique, ok... mais je trouve l'idée plutôt sympathique. Choisissez ce que vous voulez oublier.

N'attendez pas que l'histoire fasse le ménage, mettez tout de suite le pire aux oubliettes!

Il faut cliquer sur le lien puisque le canard ne permet pas d'importer l'application.

Pour en finir avec 2008
LEMONDE.FR | 19.12.08

© Le Monde.fr


Parce que j'ai moi aussi ma petite liste perso de choses à oublier...
(qui en dépit des apparences n'inclut pas le fait que j'ai un blog!)

Une chose est sûre, en ce qui me concerne 2008 finit bien mieux qu'elle n'avait commencé, même si présentement je suis un peu sur les rotules.

Une petite semaine de travail au calme de l'entre-fêtes puis une semaine de ski en perspective (je fais les choses à l'envers, c'est tout moi), et nous serons déjà en 2009. Je ne me risquerai pas à l'exercice du bilan de fin d'année.

Merci pour vos voeux à ceux qui m'en ont envoyé.
J'espère que vous avez passé un bon Noël!
Bon début d'année 2009 et rendez-vous mi janvier pour les retrouvailles avec la vie culturelle parisienne (espérons).

mardi 16 décembre 2008

Reality show (suite, et fin)

Dans le précédent billet il manquait le texte, donc voici...

Un lecteur me signale le récent billet d'André Gunthert sur Facebook, avec lequel je suis somme toute assez d'accord. Le billet porte plus précisément sur le reportage diffusé dans Envoyé Spécial le 4/12/08, encore visible ici.

Reportage tendance un peu trash, assez orienté conspiration et caricature, parlant surtout des mauvais côtés, en particulier du traitement des données liées à la vie privée. Je suis assez d'accord avec ce qu'en dit Gunthert. Je noterais le reportage: peut mieux faire...

Si les journalistes avaient essayé d'adopter une vision moins autocentrée, ils auraient pu parler de tous les gens qui suivi des trajectoires qui les ont mené de ville en ville et de pays en pays et qui peuplent facebook pour un raison très simple: ils y trouvent quelque chose d'inespéré, en un même "lieu" tous leurs contacts qui trop loin pour rester proches, bref la discussion type machine à café en début ou fin de journée avec des amis, collègues ou connaissances éparpillés aux 4 coins du monde, sur tout et rien (surtout rien, mais peu importe, ça fiat du bien de temps en temps).

Le reportage aurait aussi pu insister davantage sur la responsabilité de l'usager qui entre lui-même les détails qui le concerne... on y livre les informations qu'on veut rendre public, et ça s'arrête là. La vraie plaie, ce sont les applications farfelues et envahissantes qui engrangent les données.

Bon, j'avoue que quand j'ai appris qu' à l'origine Zuckerberg aurait crée l'application facebook en piratant les fichiers de l'université d'Harvard contenant les données personnelles, j'ai quand même un peu tiqué...

promis, la prochaine fois je vous parlerai d'autre chose ;-)

jeudi 11 décembre 2008